Pour les meilleures d’entre elles, il faut le plus souvent avoir fait une classe préparatoire (classe prépa HEC) pendant deux ans, voire trois (si on cube), avant de pouvoir intégrer après des concours prépa HEC difficiles. Il ne faut donc pas aller en classe prépa si on n’est pas prêt à se battre ou à décrocher une des meilleures écoles. Plus qu’un simple indice de viabilité dans un marché concurrentiel privé de biens éducatifs, l’avantage procuré par l’ancienneté des écoles est d’abord le produit de leur implantation. Pour intégrer l’EMLV après le bac vous devez passer le Concours SESAME, qui regroupe 14 écoles de commerce. Nous avons, pour vous, listé les 8 principales motivations qui animent les étudiants – ou futurs étudiants – en école de commerce. Ne pouvant mettre en place des cours ouvertement critiques, l’ECC radical multiplie les artifices pour arriver à son objectif : faire passer ses idées critiques aux étudiants.

Cependant, dans son traitement, l’ECC radical se montre très critique. L’ECC activiste apparaît comme un élément fort de la qualité académique de l’offre critique proposée par la direction de l’école dans ses formations. » L’ECC interroge ses collègues sur les conséquences environnementales de leur travail, mais aussi sur le réel impact des publications sur le fonctionnement de l’entreprise. Il développe alors des thématiques plus radicales comme un questionnement sur la valeur travail, la responsabilité politique du management dans le développement de pratiques violentes dans l’entreprise et la société. On peut en arriver à des situations où la conflictualité est plus qu’évidente : d’un côté un article de l’ECC radical critiquant une pratique, une thématique alors que dans le même temps son Ecole de Commerce à Beaucouzé communique sur son expertise, ses programmes sur ces mêmes pratiques et thématiques. L’opposition s’exprime aussi de manière indirecte lors de publications dans la presse managériale où l’ECC radical questionne l’intérêt de certains cours qui ne visent selon lui qu’à renforcer les étudiants dans leurs croyances d’un manager tout puissant.